Anthiou de Bulgëm, Destin de femme

5.000 CFA

Un homme, désespéré, a jeté sa femme du troisième étage d’un immeuble. Le Principal d’un collège de la place est parti à l’inspection d’académie. Mais, n’ayant pas vu la personne qu’il cherchait, du fait certainement de la grève des femmes, il se renseigna. On le dirigea vers la case écarlate, ce lieu réputé de débauche où, la très féministe Marguerite Francine, chargée du suivi de l’égalité des genres dans les écoles, passait le plus clair de son temps. Elle y était dans son bureau. Le Principal y est entré. L’ayant trouvée sur place, il l’a giflée, l’a terrassée, l’a piétinée follement, l’a traînée par les jambes pour ensuite la jeter dans un parterre de fleurs où il l’a laissée pour morte. Ensuite, tout enragé, notre homme se rendit à la police où il déclara qu’il venait de tuer quelqu’un, une femme qui, selon lui, installait le désordre dans l’esprit des enfants.

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Description

Un homme, désespéré, a jeté sa femme du troisième étage d’un immeuble. Le Principal d’un collège de la place est parti à l’inspection d’académie. Mais, n’ayant pas vu la personne qu’il cherchait, du fait certainement de la grève des femmes, il se renseigna. On le dirigea vers la case écarlate, ce lieu réputé de débauche où, la très féministe Marguerite Francine, chargée du suivi de l’égalité des genres dans les écoles, passait le plus clair de son temps. Elle y était dans son bureau. Le Principal y est entré. L’ayant trouvée sur place, il l’a giflée, l’a terrassée, l’a piétinée follement, l’a traînée par les jambes pour ensuite la jeter dans un parterre de fleurs où il l’a laissée pour morte. Ensuite, tout enragé, notre homme se rendit à la police où il déclara qu’il venait de tuer quelqu’un, une femme qui, selon lui, installait le désordre dans l’esprit des enfants.