Une langue nait, grandit, et meurt. Si on ne s’en sert pas, elle tombe en désuétude. Si on la parle sans l’écrire, elle subit l’agression de l’expression de cultures dominantes ou hégémoniques.
Cela, notre auteur en est conscient. C’est pourquoi, il tient à écrire en Wolof avec compétence et talent.