Tout est parti d’une parenté à plaisanterie née d’un pacte d’amitié et de solidarité, entre populations séréér et joolaa. Ce fondement inoxydable d’unité, que nous ont laissé nos aïeux a été fort judicieusement mis au goût du jour par Ousmane Sonko, l’aîné, le mentor et Bassirou Diomaye Faye, le cadet, l’ami fidèle. Le premier a fait élire le second, Président de la République tout en devenant son Premier Ministre, agissant donc sur ses ordres. Ces deux hommes ont émerveillé le monde entier par leur forte conviction idéologique portée par un indéfectible esprit du don de soi pour la patrie. Que n’a-t-on pas vu en politique ? Surtout de grandes amitiés au pouvoir. La plupart ont mal fini : Senghor-Mamadou Dia, Thomas Sankara-Blaise Compaoré, Patrice Emeri Lumumba-Joseph Désiré Mobutu … Comme quoi, dans le landernau des politiciens, prions toujours Dieu, comme Voltaire, qu’Il nous garde de nos amis et que l’on se charge des ennemis déclarés. Dans notre monde, les ennemis se cachent dans les rangs des amis.

Amadou Niang

Auteur de : Diomaye-Sonko, un tandem de cœur et de raison Prytanée Militaire de Saint-Louis. Baccalauréat au lycée Valdiodio Ndiaye.. Maitrise (Master 2) en Anglais. Diplôme d’études Approfondies-Mention Très-bien.
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L'ascension politique de Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye, marquée par des combats pour la justice et la transparence, incarne une vision panafricaniste et un espoir de renouveau pour le Sénégal. Ces deux hommes ont émerveillé le monde entier par leur forte conviction idéologique portée par un indéfectible esprit du don de soi pour la patrie. Leur gouvernance, axée sur la réduction des inégalités sociales et la promotion de la souveraineté économique, vise à transformer le Sénégal en une nation prospère et juste. L’auteur explore le champ d’affection sincère et réciproque que laboure le tandem du siècle et nous étale leur programme révolutionnaire.

Diomaye-Sonko, un tandem de cœur et de raison

Tout est parti d’une parenté à plaisanterie née d’un pacte d’amitié et de solidarité, entre populations séréér et joolaa. Ce fondement inoxydable d’unité, que nous ont laissé nos aïeux
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Dans un contexte africain en pleine recherche de souveraineté médiatique, il est impératif de se questionner sur le rôle de certains médias étrangers dans la narration des réalités locales. Parmi ces médias, Jeune Afrique occupe une place particulière, tant par son influence historique que par la controverse qu’il suscite. Face à ses dérives éditoriales répétées, l’interdiction de ce journal au Sénégal et en Afrique de l’Ouest apparaît aujourd’hui comme une mesure nécessaire pour préserver la stabilité, la dignité et la souveraineté des peuples ouest-africains.

L’INTERDICTION DE JEUNE AFRIQUE AU SENEGAL EST UNE NECESSITE.

‎Dans un contexte africain en pleine recherche de souveraineté médiatique, il est impératif de se questionner sur le rôle de certains médias étrangers dans la narration des réalités locales.
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LES DOLÉANCES DE MBEGAAN KODDU Vous employés salariés des villes et des campagnes où l’on vous déroule le tapis rouge Vous dont le salaire mensuel égale dix fois mon revenu annuel en meilleure saison Vous êtes TRAVAILLEURS pleins de droits, la mise propre, les mains non calleuses. Qui suis-je alors ? Moi des rizières, des champs de mil, des vastes étendues arachidières et des oignons du terroir Moi employé de maison, chauffeur sans contrat, préposée à la serpillère ou plongeur de restau Moi le smigard payé comme un mendiant, supportant la fratrie sans emploi, rivée à mes crochets Je vous présente solennellement et instamment, mais sans colère ni haine indécrottable, MES DOLÉANCES que voici : N’ARRETEZ PLUS LA MARCHE DU PAYS AVEC VOS GRÈVES INSENSÉES. CESSEZ LA SURENCHÈRE DES SALAIRES CONTINUELLEMENT EN HAUSSE car toute augmentation de votre salaire est tirée de mes impôts qui grèvent mes fonds sans fond. Mon pouvoir d’achat s’amenuise de jour en jour face à une inflation galopante due à la tension de vos revenus toujours fortement élevés. En ce 1er Mai 2025, je demande solennellement au gouvernement du Sénégal de réduire courageusement l’éventail des revenus. Une seule personne perçoit chaque mois 500 000 f, un million ou plus alors que le salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) ne couvre même pas les frais de loyer de l’honnête citoyen. Aux membres de la nébuleuse SOCIETE CIVILE grassement payés par des lobbies aux intentions douteuses, à ces autres sans-emploi qui se sucrent sur le dos du peuple, promoteurs de dialogues ridicules sans lendemain, ne soufflez plus sur la braise, quand des incontrôlables, actionnés par les puissances étrangères qui rêvent d’un Sénégal déstabilisé, inventeront des motifs de révolte pour pousser les bonnes gens à aller à la grève. Nous du peuple, vous avons à l’œil. Nous sauterons sur qui, fauve ou mauve, tenteront de freiner l’élan révolutionnaire du JUB JUBAL JUBBANTI. Sachez-le. A bon entendeur … Le Peuple veille. Mbegaan Koddu

LES DOLÉANCES DE MBEGAAN KODDU

Vous employés salariés des villes et des campagnes où l’on vous déroule le tapis rougeVous dont le salaire mensuel égale dix fois mon revenu annuel en meilleure saisonVous êtes
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