Doc1 conv 1

Abdou Sylla est un paysan né. Professeur d’Histoire/Géographie parti à la retraite il y a peu, il n’a jamais rompu le lien affectueux qui l’a tenu à la terre, de son enfance à nos jours. Il m’a dit : « On m’a baptisé avec l’argent de l’arachide. » Il a raison. Son père, agent vétérinaire à la belle époque, n’en était pas moins un grand agriculteur attaché à ses terres et à ses bêtes de labeur. Et puisque la caque sent toujours le hareng, Abdou, comme on aime l’appeler dans notre quartier, reste fidèle à la terre qu’il fréquente avec passion et fidélité.

Abdou Sylla est un paysan né. Professeur d’Histoire/Géographie parti à la retraite il y a peu, il n’a jamais rompu le lien affectueux qui l’a tenu à la terre, de son enfance à nos jours. Il m’a dit : « On m’a baptisé avec l’argent de l’arachide. » Il a raison. Son père, agent vétérinaire à la belle époque, n’en était pas moins un grand agriculteur attaché à ses terres et à ses bêtes de labeur. Et puisque la caque sent toujours le hareng, Abdou, comme on aime l’appeler dans notre quartier, reste fidèle à la terre qu’il fréquente avec passion et fidélité.

Abdou Sylla est un paysan né. Professeur d’Histoire/Géographie parti à la retraite il y a peu, il n’a jamais rompu le lien affectueux qui l’a tenu à la terre, de son enfance à nos jours. Il m’a dit : « On m’a baptisé avec l’argent de l’arachide. » Il a raison. Son père, agent vétérinaire à la belle époque, n’en était pas moins un grand agriculteur attaché à ses terres et à ses bêtes de labeur. Et puisque la caque sent toujours le hareng, Abdou, comme on aime l’appeler dans notre quartier, reste fidèle à la terre qu’il fréquente avec passion et fidélité.