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Notre époque est celle des ruptures géopolitiques, du rejet des hégémonies unilatérales et du besoin d’une coopération réinventée. La Francophonie, aujourd’hui, doit se questionner profondément : veut-elle demeurer un outil d’influence au service de quelques-uns ou bien devenir une communauté véritablement solidaire, respectueuse de la souveraineté et des identités ? Nous devons voir en face les faits : l’OIF est confrontée à une crise majeure. Le départ du Mali, du Burkina Faso et du Niger ne fut ni un accident ni un coup de tête. Il est le fruit d’un ressentiment profond contre une Francophonie perçue comme asymétrique, moralisatrice et muette sur les injustices que subissent ses membres africains. Le deux poids deux mesures dans le traitement des crises démocratiques a discrédité l’organisation. Ce n’est pas le peuple africain qui a tourné le dos à la Francophonie, c’est une certaine conception de celle-ci qui a tourné le dos aux peuples africains.

Notre époque est celle des ruptures géopolitiques, du rejet des hégémonies unilatérales et du besoin d’une coopération réinventée. La Francophonie, aujourd’hui, doit se questionner profondément : veut-elle demeurer un outil d’influence au service de quelques-uns ou bien devenir une communauté véritablement solidaire, respectueuse de la souveraineté et des identités ?
Nous devons voir en face les faits : l’OIF est confrontée à une crise majeure. Le départ du Mali, du Burkina Faso et du Niger ne fut ni un accident ni un coup de tête. Il est le fruit d’un ressentiment profond contre une Francophonie perçue comme asymétrique, moralisatrice et muette sur les injustices que subissent ses membres africains. Le deux poids deux mesures dans le traitement des crises démocratiques a discrédité l’organisation. Ce n’est pas le peuple africain qui a tourné le dos à la Francophonie, c’est une certaine conception de celle-ci qui a tourné le dos aux peuples africains.

Notre époque est celle des ruptures géopolitiques, du rejet des hégémonies unilatérales et du besoin d’une coopération réinventée. La Francophonie, aujourd’hui, doit se questionner profondément : veut-elle demeurer un outil d’influence au service de quelques-uns ou bien devenir une communauté véritablement solidaire, respectueuse de la souveraineté et des identités ?
Nous devons voir en face les faits : l’OIF est confrontée à une crise majeure. Le départ du Mali, du Burkina Faso et du Niger ne fut ni un accident ni un coup de tête. Il est le fruit d’un ressentiment profond contre une Francophonie perçue comme asymétrique, moralisatrice et muette sur les injustices que subissent ses membres africains. Le deux poids deux mesures dans le traitement des crises démocratiques a discrédité l’organisation. Ce n’est pas le peuple africain qui a tourné le dos à la Francophonie, c’est une certaine conception de celle-ci qui a tourné le dos aux peuples africains.