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Alors, pourquoi encore et toujours ces stéréotypes de présentateurs et présentatrices de journal en costume-cravate pour les hommes et en tailleur pour les femmes ? Le plus agaçant, c’est l’accent emprunté des présentatrices. « Le Prekheuzidaane Bachikheu Diomaye Faayeu … » C’est écœurant. Les Français rient de nous sous cape. Chez la plupart de ces femmes, tout est français sauf les lèvres. Elles sont nègres, donc lippues. Comme quoi, leur nature propre les trahit. Il n’y a rien de plus beau qu’une tenue africaine simple mais sélect. Il suffit que le staff de la RTS définisse des codes pour éviter certaines parades qui pourraient entrainer quelques débordements. La dame qui présentait en wolof le magazine électoral après le journal dégageait hautement l’image de notre pays de par sa mise simple et variée, bien africaine. On se rappelle Sokhna Dieng aux débuts de la télévision sénégalaise avec ses tenues bien africaines, son admirable brillance nègre et sa sénégalité fièrement affichée. Senghor, quoique trop français aimait beaucoup voyager avec elle, l’exhibant comme la mascotte de tout un pays, le Sénégal.

Alors, pourquoi encore et toujours ces stéréotypes de présentateurs et présentatrices de journal en costume-cravate pour les hommes et en tailleur pour les femmes ? Le plus agaçant, c’est l’accent emprunté des présentatrices. « Le Prekheuzidaane Bachikheu Diomaye Faayeu … » C’est écœurant. Les Français rient de nous sous cape. Chez la plupart de ces femmes, tout est français sauf les lèvres. Elles sont nègres, donc lippues. Comme quoi, leur nature propre les trahit.
Il n’y a rien de plus beau qu’une tenue africaine simple mais sélect. Il suffit que le staff de la RTS définisse des codes pour éviter certaines parades qui pourraient entrainer quelques débordements.
La dame qui présentait en wolof le magazine électoral après le journal dégageait hautement l’image de notre pays de par sa mise simple et variée, bien africaine.
On se rappelle Sokhna Dieng aux débuts de la télévision sénégalaise avec ses tenues bien africaines, son admirable brillance nègre et sa sénégalité fièrement affichée. Senghor, quoique trop français aimait beaucoup voyager avec elle, l’exhibant comme la mascotte de tout un pays, le Sénégal.

Alors, pourquoi encore et toujours ces stéréotypes de présentateurs et présentatrices de journal en costume-cravate pour les hommes et en tailleur pour les femmes ? Le plus agaçant, c’est l’accent emprunté des présentatrices. « Le Prekheuzidaane Bachikheu Diomaye Faayeu … » C’est écœurant. Les Français rient de nous sous cape. Chez la plupart de ces femmes, tout est français sauf les lèvres. Elles sont nègres, donc lippues. Comme quoi, leur nature propre les trahit.
Il n’y a rien de plus beau qu’une tenue africaine simple mais sélect. Il suffit que le staff de la RTS définisse des codes pour éviter certaines parades qui pourraient entrainer quelques débordements.
La dame qui présentait en wolof le magazine électoral après le journal dégageait hautement l’image de notre pays de par sa mise simple et variée, bien africaine.
On se rappelle Sokhna Dieng aux débuts de la télévision sénégalaise avec ses tenues bien africaines, son admirable brillance nègre et sa sénégalité fièrement affichée. Senghor, quoique trop français aimait beaucoup voyager avec elle, l’exhibant comme la mascotte de tout un pays, le Sénégal.