Madame la Première Dame, je vous ai entendu dire : « … l’éducation des filles, ce groupe souvent vulnérable, pour leur autonomisation et leur bien être… » Personnellement, je ne vous en veux pas car je sais comment sont rédigés ces discours. Et je suis persuadé que ce que vous avez lu, vous ne le pensez pas au fond de vous-même, car telle que vous êtes, telle que nous vous aimons, fille, vous ne revendiquiez pas l’égalité avec les garçons, vous ne cherchiez pas à vous autonomiser par rapport à vos parents et vous ne vous focalisiez pas sur votre bien être au détriment de l’obéissance à vos parents. Nous parents de ces filles dont vous parlez, souhaitons que nos filles soient comme vous, une fois adultes, c’est-à-dire authentiquement enracinées dans notre culture et incarnant vos valeurs de femme distinguée par votre retenue, votre sagesse et votre engagement aux côtés de votre mari en acceptant dignement son choix matrimonial polygamique. Vous êtes un parfait modèle pour nos filles. Donc, ne les éloignez pas de leurs parents, ni de leurs frères, les garçons. Ah ! Les pauvres ! Ils sont victimes d’une flagrante discrimination. Aucun programme ne parle d’eux. On les oublie. Ce qui les plonge dans une frustration grandissante qui inhibe leur volonté et leur masculinité sans que vous vous en rendiez compte. Demandez à ceux qui tiennent les classes. Les garçons sont devenus comme des poulets mouillés. Depuis qu’on a intégré les programmes d’équité et de genre dans les écoles, vers les années 80, les relations naturelles entre garçons et filles sont faussées. Les garçons souhaitent secrètement être des filles pour avoir les mêmes prérogatives que leurs sœurs. D’où part nécessairement une tendance latente à l’homosexualité. C’est normal. L’enfant a besoin d’attention, d’affection. Il veut se sentir considéré. Mais on tourne le dos au garçon. C’est tout pour la fille, rien pour le garçon devenu tout penaud. L’accès et le maintien des filles n’est plus qu’un prétexte, du reste fallacieux. C’est une réalité flagrante que les filles très souvent dépassent en nombre les garçons. Et puis, on fait des écoles spécifiquement pour elles. On leur accorde un encadrement particularisé. Les meilleurs postes leur sont réservés dans l’administration (publique ou privée) On les gonfle d’orgueil au point qu’elles ont tendance à se croire supérieures aux garçons. Ceux-ci galèrent, ratent leurs examens et tombent dans le chômage ou conduisent des motos taxi avant de prendre les pirogues pour aller se noyer en mer. Trente à quarante ans après l’introduction de ces politiques éducatives désastreuses, ‘’les filles de l’Occident’’ sont devenues des femmes ingérables. Elles bannissent le mariage, cette institution qualifiée de ringarde. Si elles s’y mettent, c’est avoir un enfant et demander le divorce. La loi est pour elle. Le juge tranche selon ses intérêts. Après, elle s’en va papillonner. Elle s’éloigne de son allié naturel, l’homme, pour se tourner vers une personne du même sexe qu’elle… Et le projet de l’Occident a réussi.
Madame la Première Dame, je vous ai entendu dire : « … l’éducation des filles, ce groupe souvent vulnérable, pour leur autonomisation et leur bien être… » Personnellement, je ne vous en veux pas car je sais comment sont rédigés ces discours. Et je suis persuadé que ce que vous avez lu, vous ne le pensez pas au fond de vous-même, car telle que vous êtes, telle que nous vous aimons, fille, vous ne revendiquiez pas l’égalité avec les garçons, vous ne cherchiez pas à vous autonomiser par rapport à vos parents et vous ne vous focalisiez pas sur votre bien être au détriment de l’obéissance à vos parents. Nous parents de ces filles dont vous parlez, souhaitons que nos filles soient comme vous, une fois adultes, c’est-à-dire authentiquement enracinées dans notre culture et incarnant vos valeurs de femme distinguée par votre retenue, votre sagesse et votre engagement aux côtés de votre mari en acceptant dignement son choix matrimonial polygamique. Vous êtes un parfait modèle pour nos filles. Donc, ne les éloignez pas de leurs parents, ni de leurs frères, les garçons. Ah ! Les pauvres ! Ils sont victimes d’une flagrante discrimination. Aucun programme ne parle d’eux. On les oublie. Ce qui les plonge dans une frustration grandissante qui inhibe leur volonté et leur masculinité sans que vous vous en rendiez compte. Demandez à ceux qui tiennent les classes. Les garçons sont devenus comme des poulets mouillés. Depuis qu’on a intégré les programmes d’équité et de genre dans les écoles, vers les années 80, les relations naturelles entre garçons et filles sont faussées. Les garçons souhaitent secrètement être des filles pour avoir les mêmes prérogatives que leurs sœurs. D’où part nécessairement une tendance latente à l’homosexualité. C’est normal. L’enfant a besoin d’attention, d’affection. Il veut se sentir considéré. Mais on tourne le dos au garçon. C’est tout pour la fille, rien pour le garçon devenu tout penaud. L’accès et le maintien des filles n’est plus qu’un prétexte, du reste fallacieux. C’est une réalité flagrante que les filles très souvent dépassent en nombre les garçons. Et puis, on fait des écoles spécifiquement pour elles. On leur accorde un encadrement particularisé. Les meilleurs postes leur sont réservés dans l’administration (publique ou privée) On les gonfle d’orgueil au point qu’elles ont tendance à se croire supérieures aux garçons. Ceux-ci galèrent, ratent leurs examens et tombent dans le chômage ou conduisent des motos taxi avant de prendre les pirogues pour aller se noyer en mer. Trente à quarante ans après l’introduction de ces politiques éducatives désastreuses, ‘’les filles de l’Occident’’ sont devenues des femmes ingérables. Elles bannissent le mariage, cette institution qualifiée de ringarde. Si elles s’y mettent, c’est avoir un enfant et demander le divorce. La loi est pour elle. Le juge tranche selon ses intérêts. Après, elle s’en va papillonner. Elle s’éloigne de son allié naturel, l’homme, pour se tourner vers une personne du même sexe qu’elle… Et le projet de l’Occident a réussi.